Ça ne semble pas facile sur le coup, mais je tiens à vous donner des pistes afin d’éviter les conflits, les différents et dans certains cas, les arnaques.
Êtes-vous marié ? Vous avez probablement signé votre contrat de mariage. Pas de panique, dans celui-ci vous avez fort probablement décidé comment vous allez vous séparer vos biens en cas de divorce. L’option la plus commune se résume tout simplement par une entente moitié-moitié. C’est-à-dire que la valeur de la maison sera séparée de façon égale entre les deux parties. Il est possible de vendre la propriété et de séparer les gains ou de racheter la part de l’autre. Ce contrat aide justement à éviter tous conflits qui pourraient faire face lors d’un divorce, étant donné que les deux parties ont consenti à une entente et à des engagements quelconques lors la signature.
Vous êtes conjoints de fait ? Saviez-vous que selon un sondage de la Chambre des notaires du Québec, 46% des conjoints de fait croient qu’ils ont le même statut que les couples mariés, ce qui n’est pas le cas. En fait, la majorité d’entre eux n’ont pas forcément prévu l’éventuelle rupture de leur couple et n’ont pas de contrat. Trop souvent on entend des histoires d’injustice ou d’arnaque. Par exemple, l’un des deux parties connaît davantage la valeur de la propriété et achète la part de l’autre à petit prix afin de se faire un certain profit sur la vente de la propriété. Vous vous devez de vous informer auprès de professionnels, tel qu’un notaire ou un avocat.
Afin d’éviter tous ces tracas, avant d’emménager avec votre amoureux/amoureuse (ou même si vous vivez déjà avec celui-ci), je vous conseille de vous faire un contrat de vie commune pour bien instaurer vos engagements l’un envers l’autre. Comme le contrat de mariage vous éviterez beaucoup de compromis.
Dans votre contrat de vie commune vous pourrez-vous entendre sur les points suivants :